En savoir plus : Savoir déléguer

C’est une démarche difficile car nous avons des freins à « oser déléguer ». Et pourtant, déléguer est un gain de temps, une nécessité pour rester cibler sur ses priorités, une motivation pour ses collaborateurs. Le + : déléguer qualitativement, c’est grandir soi-même et faire grandir les autres.

Croire en sa capacité à optimiser son temps et à cibler ses priorités

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Impossible à stocker, d’une vitesse constante et permanente, le temps est une denrée rare puisque nous avons constamment l’impression d’en manquer. De plus, c’est un outil de mesure professionnel important (base de calcul de la productivité, du retour sur investissement, … « le temps, c’est de l’argent). De plus, nous subissons des tensions liées au fait que tout le monde, toutes les cultures n’ont pas la même notion du temps. Enfin, nous vivons à une époque où les nouvelles technologies apportent des gains de temps considérables mais parallèlement, ont créé des notions de rapidité et d’urgence très lourdes à supporter. Les conséquences ? stress voire burn-out, énervements, conflits, crises, … Pour maîtriser son temps et éviter sa pression permanente, BBConseilRH propose des types d’organisations, méthodes, « trucs et astuces« ,  à votre mesure pour les rendre efficaces et

Le + : Cibler l’essentiel et contrer ce sentiment de « subir » le temps.

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Faut-il craindre de déléguer ?

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Pourquoi cela semble-t-il si difficile ? Les causes sont nombreuses : 1. Cette volonté de paraître «indispensable» faute de quoi, on a l’impression que les autres penseront que l’on ne sert à rien,  2. Ce besoin de savoir tout ce qui se passe faute de quoi, on a l’impression que l’on peut être pris en défaut ou découvrir des problèmes,  3. Cette peur de perdre une partie de son territoire, de ses prérogatives, de son image …. et aussi : « j’ai pas le temps, j’ai personne à qui donner le travail, je sais pas faire, …. »

Et pourtant, ne pas déléguer, c’est : 1. Se détourner de ses missions essentielles, 2. Se mettre de la pression et surcharge de travail,  3. Donner aux autres l’impression « qu’ils ne savent pas », 4. Risquer d’être sans cesse solliciter, 5. Enlever de l’autonomie (et motivation) à ses collaborateurs…

Pour déléguer, et « bien » déléguer, il existe des règles qu’il faut connaître et respecter : appliquez-les ou apprenez-les. Vous vous recentrerez sur votre coeur de métier et vous gagnerez du temps et de la sérénité. Le + : déléguer qualitativement, c’est grandir soi-même et faire grandir les autres.

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Les bons chemins pour évoluer et faire évoluer

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Tout individu doit évoluer, chacun à sa façon, chacun à son niveau. Il y a les  ambitieux qui ont besoin d’un « plan de carrière », les jeunes talents dont il faut développer le potentiel, et aussi, tous ceux qui ne disent rien, ne demandent rien car ils sont en « bas de l’échelle », ils ne sont pas diplômés, ils ont une culture générale limitée. Quelque soit son profil, toute personne peut et doit progresser. S’il ne s’agit pas d’une promotion hiérarchique, ce peut être une mobilité transversale ou simplement un enrichissement ou changement des tâches. Pour que l’organisation soit performante, personne ne doit être oubliée. Il faut donc potentialiser tous les outils présents (ou à mettre en place), tels l’organisation interne, les entretiens annuels, le plan de formation, le DIF, …En savoir plus . Le + : Donner de la reconnaissance = avoir envie = augmenter l’efficacité et la productivité.

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